17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 19:19

Pas de grands changements par rapport à l'année dernière :

 

Pas de modification de barème.

 

Les postes fléchés anglais sont amenés à disparaître, puisque tous les enseignant-es sont habilité-es à enseigner l'anglais. Cette question sera revue en Comité Technique. Les postes seraient transformés en adjoints « classiques » et les titulaires garderaient leur poste.

 

Les postes de direction REP et REP+ , les postes de direction des écoles avec une décharge totale, les postes d'enseignant-es en REP+ seront désormais des postes à profil, avec appel à candidature et commission d'entretien. L'administration prétexte qu'il s'agirait de vérifier la motivation des enseignant-es à exercer dans ce type d'établissement. Pour nous, il s'agit pour l'administration de développer les affectations hors barème, incontrôlables par les délégué-es du personnel.

 

Une personne touchée par une mesure de carte scolaire sera désormais la dernière nommée dans l'école, hors poste à profil. Il n'y aura donc plus de distinction entre poste élémentaire, maternel ou poste fléché anglais.

 

Attention toutes ces modifications sont dans le projet de circulaire. Il faut attendre la circulaire définitive pour savoir si le projet qui nous a été présenté sera effectivement appliqué.

 

Calendrier prévisionnel :

15 avril 2015 : diffusion de la circulaire et publication des postes vacants ou susceptibles de l'être

20 avril au 5 mai 2015 : saisie des vœux

19 mai : Groupe de travail « cas particulier » et groupe de travail sur la vérification des barèmes

2 juin 2015 : CAPD phase principale

30 juin 2015 : Groupe de travail phase d'ajustement

4 septembre2015: derniers ajustements

 

Lilie Lebougre, votre élue en CAPD

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 16:50

Personnels et parents contestent la carte de l’éducation prioritaire : amplifions la mobilisation

vendredi 12 décembre 2014

Une réforme sans moyens à la hauteur des besoins pour celles et ceux qui en ont le plus besoin. Une réforme d’austérité et de gestion de la pénurie.

Des moyens en-deçà des besoins

« La refondation de l’éducation prioritaire est avant tout pédagogique ». On connaît la chanson, ce ne serait pas une question quantitative mais qualitative.
Le nombre de réseaux d’éducation prioritaire ne change pas : une fois de plus, on ne part pas des besoins, mais d’une enveloppe bloquée. De nouveaux établissements et de nouvelles écoles entrent dans le dispositif, et il était temps de leur reconnaître ce besoin, mais quid de ceux qui sortent ? Pour beaucoup, c’est l’incompréhension. Dans un contexte d’accroissement des inégalités, ce sont encore les plus fragiles qui trinquent. Les quelques moyens qui permettaient de maintenir les équipes à peu près à flot vont disparaître et fragiliser le travail mis en place depuis des années auprès des élèves de ces zones en grande difficulté sociale, dans les quartiers et les zones rurales.
Dans les établissements qui sortent de l’éducation prioritaire, que vont devenir les effectifs par classe ou les DHG (dotation horaire globale annuelle) dans des structures souvent fragiles qui quitteront l’éducation prioritaire ? Quid de la dégradation des conditions de travail et d’étude dans ces écoles et établissements ?

Une logique de réseau qui ignore la réalité

Le classement des collèges dans l’éducation prioritaire en REP et REP+ impose le classement des écoles en dépit de leur réalité. C’est une logique de réseau qui est à l’œuvre : les écoles qui dépendent d’un collège qui sort de l’éducation prioritaire sortent automatiquement, même si leur situation correspondrait à d’autres écoles classées REP+ et qui le sont vraiment parce que le collège de secteur est dans la liste… Cela va à l’encontre de la logique de mixité sociale nécessaire !

Des listes établies dans la plus grande confusion

Le Ministère a choisi quatre critères pour établir la liste des établissements de l’éducation prioritaire. Ces informations, contestables, pas toujours très fiables ni actualisées, ont été plus ou moins prises en compte par les rectorats qui ont parfois utilisé d’autres critères sans les communiquer aux équipes et aux organisations syndicales. Ce manque de clarté dans le choix des établissements classés ou sortis de l’éducation prioritaire questionne. La fin de non-recevoir apportée par les directions académiques aux contestations est insupportable.
Aucune discussion n’a réellement lieu, et les listes académiques remontent au Ministère sans que des Comités Techniques n’aient été réunis. La liste définitive sera présentée au Comité Technique Ministériel du mercredi 17 décembre sans qu’aucun vote n’ait eu lieu !

Déjà des dysfonctionnements dans les réseaux REP+ préfigurateurs

Dans les établissements préfigurateurs de la réforme, le constat est clair : les promesses en matière de moyens supplémentaires pour ces établissements « prioritaires parmi les prioritaires » ne sont globalement pas tenues, ou a minima et sur la base du redéploiement. Dans le second degré, où sont les personnels santé-sociaux supplémentaires promis ? Où sont les postes permettant l’encadrement des 6e jusqu’à 16h30 ? Dans le premier degré, les ouvertures des classes de moins de 3 ans se font au compte-gouttes. Pour masquer des RASED incomplets, on agrandit, du moins sur le papier, les zones d’intervention des psychologues et maitres-ses spécialisé-e-s pour couvrir les REP+. Par ailleurs, toujours dans le premier degré, les départs en formation se font dans des conditions de désorganisation totale pour les élèves et pour les équipes enseignantes. Depuis la rentrée, de nombreux remplacements ne sont plus assurés dans certains départements. Enfin, une hiérarchie intrusive se renforce, venant distribuer la bonne parole : des IEN et IPR font déjà la tournée des écoles et établissements REP + pour expliquer aux collègues comment faire leur travail correctement !

La contestation gronde : de nombreux établissements et écoles sont déjà fortement mobilisés

Des collègues et des parents sont mobilisés pour que la réalité de terrain soit reconnue et que leurs établissements restent dans l’éducation prioritaire ou soient classés REP+, dans de nombreuses académies : Toulouse, Aix-Marseille, Créteil, Versailles, Paris, .... Certains établissements sont bloqués depuis plus de 2 semaines comme en Seine-saint-Denis.


SUD éducation soutient toutes les mobilisations en cours, appelle à l’auto-organisation, à l’élargissement et à la coordination de ce mouvement de lutte.
SUD éducation invite les collègues à discuter en assemblée générale de leur vision de l’éducation prioritaire et à formuler leurs revendications.


Pour une véritable politique de justice sociale dans l’éducation prioritaire : diminution du temps de travail, temps de concertation pour les équipes, baisse des effectifs par classe, refus du tri social.

SUD éducation revendique :

1 - Une baisse des effectifs par classe :
20 élèves maximum par classe, 16 en éducation prioritaire, 12 en SEGPA.
2 - Une baisse du temps de travail :
Un temps de service global pour l’ensemble des enseignant-e-s du 2nd degré de 14 h cours/élèves + 3 h de concertation/travail en équipes & 18 heures devant élèves + 6 heures de travail en équipe dans le premier degré
1/9e de minoration de services pour tous les personnels de l’éducation prioritaire
3 – Une vie scolaire renforcée pour les élèves
1 CPE pour 120 élèves dans les collèges ordinaires et 1 pour 100 en éducation prioritaire.
1 personnel de vie scolaire pour 50 élèves en collège ordinaire et 2 pour 50 en éducation prioritaire.
4 - Des dispositifs d’aide et de prévention complets
1 RASED complet par groupe scolaire et 1 enseignant-e supplémentaire
pour cinq classes (pour le 1er degré).
Un recrutement massif de personnels médico-sociaux (assistance sociale, infirmerie, psychologue)
5 - Des mesures permettant la stabilisation des équipes
La formation et la titularisation de tou-te-s les contractuel-le-s ainsi que le financement des études pour permettre aux jeunes de l’académie d’accéder aux
métiers de l’enseignement.

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 16:48

Affectations, indemnités, pondérations… Les revendications de SUD éducation

mardi 16 décembre 2014

Le ministère met en chantier les textes d’application du décret n°2014-940 du 20 août 2014 sur les missions et services des enseignant-e-s dans le second degré, dont le projet a été adopté le 27 mars 2014 avec les voix de l’UNSA et du SGEN-CFDT et l’abstention des syndicats SNES, SNUIPP et SNEP de la FSU.

La nouvelle réglementation prendra pleinement effet dès la rentrée de septembre 2015.

Nous entendons porter nos revendications sur les textes d’application qui vont préciser comment le nouveau décret va se mettre en place.

Sur beaucoup de questions, ces précisions vont être déterminantes pour les conditions de vie et de travail des enseignant-e-s.


SUD éducation a voté contre ce décret notamment :

parce que le principe contestable et inégalitaire de l’indemnité est maintenu et même étendu au détriment des décharges horaires ;
parce que les nouvelles missions y sont listées sans aucune réduction des obligations de service devant élèves ;
parce que des décharges sont supprimées ;
parce que le remplacement de l’heure de première chaire par une pondération implique qu’il faudra désormais effectuer 10 heures dans des classes du cycle terminal pour obtenir une heure de décharge pleine alors qu’il en fallait 6 ;
parce qu’il rend règlementaires les affectations sur plusieurs communes, qui ne l’étaient pas jusqu’ici ;
parce qu’il précise que les services des PE spécialisé-e-s en SEGPA, EREA et ULIS sont de 21 heures alors qu’ils devraient être de 18 heures ;
et parce qu’il crée ou maintient des mesures discriminatoires pour les professeur-e-s de lycée professionnel.

Voir à ce sujet notre communiqué : Statuts : une réforme oui, mais pas celle-là.

Affectations

EN OPPOSITION À CE QUE STIPULE LE NOUVEAU DÉCRET [ARTICLE 4], SUD ÉDUCATION COMBAT LA POSSIBILITÉ D’AFFECTATIONS SUR PLUSIEURS COMMUNES OU SUR PLUS DE DEUX ÉTABLISSEMENTS, MÊME POUR LES TZR. NOUS REVENDIQUONS TOUS LES ENCADREMENTS POSSIBLES POUR LIMITER LES POSSIBILITÉS D’AFFECTATIONS MULTIPLES ET EN PARTICULIER :

que les affectations sur deux établissements situés dans des communes différentes ou dans trois établissements ne puissent se décider qu’avec l’accord explicite de l’enseignant-e ;

qu’un-e enseignant-e ne puisse pas être affecté-e sur un deuxième établissement si des heures supplémentaires (HSA) sont attribuées à d’autres enseignant-e-s de sa discipline dans son établissement d’affectation.
Lorsque nous avons porté cette revendication avant la publication du décret, le ministère s’était engagé à traduire cette exigence dans les textes d’application.
Nous en attendons la confirmation.

Nous revendiquons également :

qu’une heure de réduction de service soit appliquée pour toute affectation multiple ;
qu’une pause méridienne d’au moins une heure, hors temps de déplacement, soit respectée ;
qu’il n’y ait pas de déplacements multiples dans la même journée (pas d’aller-retour entre les deux établissements) ;
qu’il y ait un nombre maximum de déplacements hebdomadaires entre les établissements d’affectation ;
que les frais de déplacement entre les établissements donnent lieu à remboursement ;
que les affectations multiples donnent lieu à une saisine obligatoire du CHSCT sur le sujet.

Indemnités

NOUS DÉNONÇONS LE « TOUT INDEMNITAIRE » DU DÉCRET [ARTICLE 3]. LE MINISTÈRE VEUT CRÉER DES INDEMNITÉS, PAR-FOIS EN REMPLACEMENT DE DÉCHARGES EXISTANTES : POUR 6 HEURES DANS DES CLASSES DU CYCLE TERMINAL DE L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL, POUR LES MISSIONS PARTICULIÈRES SUR DÉSIGNATION PAR LE CHEF D’ÉTABLISSEMENT (COORDONNATEUR/TRICE, RÉFÉRENT-E, TUTEUR/TRICE), POUR LES EFFECTIFS PLÉTHORIQUES SUPÉRIEURS À 35 ÉLÈVES (EN REMPLACEMENT DE LA RÉDUCTION D’UNE HEURE DE SERVICE).

La fédération SUD éducation revendique l’intégration des indemnités générales (de type ISOE part fixe) au traitement.

Il faut se placer sur le terrain des conditions de travail et non sur celui du saupoudrage indemnitaire. Nous revendiquons des mécanismes compensatoires alternatifs : réductions de service, baisse du nombre d’élèves, dédoublements... Nous revendiquons la compensation des tâches supplémentaires par des décharges de services amenant une réduction du temps d’enseignement.

Le ministère développant une logique indemnitaire, nous refusons de laisser les décisions d’attribution des indemnités à l’arbitraire des rectorats ou des chefs d’établissements et revendiquons la définition de règles générales nationales définissant les situations donnant lieu à indemnités.

Les compensations (horaires ou, à défaut, indemnitaires) doivent être attribuées non pour des rôles, mais pour des charges de travail supplémentaires ou des conditions de travail particulièrement difficiles. Nous refusons les indemnités qui cherchent à hiérarchiser les personnels du type « préfet des études » ou « membre du Conseil pédagogique » et nous nous opposerons à tout texte qui en instituerait.

Nous condamnons la mesure inégalitaire qui exclut la voie professionnelle de la pondération à 1,1 des heures effectuées dans le cycle terminal [article 6]. Nous dénonçons également la proposition de remplacement de l’indemnité de Contrôles en Cours de Formation (CCF) par une indemnité forfaitaire pour les enseignant-e-s qui effectuent au moins 6 heures en première ou terminale bac pro ou en seconde ou terminale CAP, qui vise des économies budgétaire. D’une part, celle-ci exclurait de fait des enseignant-e-s qui effectuent moins de 6 heures dans ces niveaux, en créant un effet de seuil. D’autre part, elle créerait une nouvelle injustice puisqu’elle abolirait toute compensation pour ceux et celles des enseignant-e-s qui doivent assurer des CCF et ne tiendrait pas compte de la différence de charge de travail.

En compensation temporaire de l’exclusion de la pondération, nous revendiquons que l’équivalent de 0,1 HSA soit attribué aux enseignant-e-s pour chaque heure effectuée en première ou terminale BAC PRO et dans les deux années de CAP.

Nous condamnons le mode d’évaluation des examens par CCF qui repose uniquement sur l’enseignant-e (conception, organisation, convocation, correction, notation). Nous réclamons le retour aux épreuves ponctuelles nationales. Tant que des CCF sont maintenus et qu’ils ne donnent pas lieu à décharges horaires spécifiques, nous revendiquons que les indemnités de CCF soient maintenues et augmentées, qu’elles soient versées intégralement à chaque enseignant-e pour chaque épreuve et sous-épreuve, en tenant compte du nombre d’élèves concernés.

Pondérations

LE DÉCRET PRÉVOIT UNE PONDÉRATION À 1,1 DES HEURES DE CLASSE EFFECTUÉES DANS L’ÉDUCATION PRIORITAIRE EN REP+ [ARTICLE 8] ET DANS LES CLASSES DU CYCLE TERMINAL DES SÉRIES GÉNÉRALES ET TECHNOLOGIQUES [ARTICLE 6]. SA MISE EN ŒUVRE CETTE ANNÉE DANS LES REP+ SUSCITE DE GRANDES CRAINTES. DANS BEAUCOUP DE CAS, FAUTE DE CRÉATION DE POSTES, CETTE PONDÉRATION N’A PAS DONNÉ LIEU À UNE RÉDUCTION DE SERVICE, MAIS À DES (FRACTIONS) D’HEURES SUPPLÉMENTAIRES.

Pourtant, le choix d’une pondération plutôt que d’une indemnité est fondé sur l’idée que la charge de travail supplémentaire en cycle terminal ou les conditions de travail dans l’éducation prioritaire doivent donner lieu à une diminution du service devant élèves. Pour SUD éducation, les textes d’application doivent préciser que la mise en place des pondérations en REP+ et en cycle terminal a pour objectif qu’elles se traduisent par des réductions effectives des services devant élèves pour l’ensemble des enseignant-e-s concernés, stagiaires compris-es.

Il faut rappeler que les sous services ne sont pas interdits, et qu’ils ne sont pas de la responsabilité des personnels, qui ne doivent pas en pâtir. Et il faut également rappeler que le décret maintient les maxima hebdomadaires de service pour les certifié-e-s, agrégé-e-s et PLP [article 2] et aussi qu’on ne peut pas imposer plus d’une heure supplémentaire annuelle (HSA) [article 4].

Les textes d’application doivent expliquer que les pondérations sont prises en compte pour le calcul des heures de service et des HSA, et ainsi que les heures de service ne peuvent pas dépasser de plus d’une heure les maxima réglementaires sans l’accord de l’intéressé-e, même si le dépassement supplémentaire est d’une fraction d’heure. Par exemple, il n’est pas possible d’imposer 16 heures de cours dans des classes de seconde à un-e certifié-e à temps plein qui aurait également 3 heures à assurer en cycle terminal. Son service serait en effet alors de 19,3 heures [(3x1,1)+16]. Le maxima de service des certifié-e-s étant de 18 heures, cela reviendrait à lui imposer 1,3 HSA, soit plus que l’unique HSA imposable.

Les collègues doivent être en capacité de refuser ces HSA en dépassement. Il est de la responsabilité du ministère de faire en sorte que les personnels soient informés, que les chefs d’établissement et les rectorats ne fassent pas pression sur les collègues, et que les postes soient pourvus en nombre suffisant pour que les réductions de service soient respectées.

Pour améliorer réellement nos conditions de vie et de travail, c’est par nos luttes qu’il faudra imposer :

La baisse du nombre d’élèves par classe, et la définition des plafonds nationaux

Des augmentations de salaires

La compensation par des réductions de service des tâches supplémentaires et conditions difficiles

Une baisse du temps de travail et 3h de concertation intégrées dans le service des enseignant-e-s

Une réforme de l’éducation prioritaire avec une décharge pour tous les personnels

Un corps unique basé sur la situation la plus favorable

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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 08:49

Vendredi 19 décembre 2014, de 18h30 à 23h30, Halle aux Toiles Alençon

 

Au programme :

Repas festif autour d'un couscous avec débat, vidéos, expositions, la participation d'une militante RESF/Paris sur la question des MIE et peut-être de Monseigneur Gaillot.

 

Participation de 15€, 10€ (tarif réduit) et 5€ pour les enfants, avec couscous, une boisson, un dessert. L'apéritif vin blanc ou rouge ou poiré à la mure ou au cassis offert. L'argent est destiné à l'accueil de ces jeunes. Préciser si vous venez ou si vous soutenez uniquement.

 

Vous pouvez d'ores et déjà réserver par téléphone au 02.33.29.22.46 ou à Groupe Local Cimade Orne 26, place Bonet 61000 Alençon (préciser soirée "19 décembre MIE" au dos du chèque, les chèques déposer à l'avance vont permettre d'assurer les frais liés à cette soirée Merci)

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 17:31

Communiqué de la fédération Sud éducation du 11 décembre 2014

jeudi 11 décembre 2014

Plan d’action égalité filles/garçons

Pour faire passer la pilule de l’abandon des ABCD de l’égalité, nous était promis, à grands renforts d’interventions médiatiques, un ambitieux « plan d’action pour l’égalité filles/garçons à l’école ». Après des mois d’attente, pendant lesquels n’en doutons pas, le Ministère de l’Education Nationale a œuvré avec sérieux et détermination à son élaboration, il nous est enfin dévoilé, en particulier à travers un site internet dédié. Et c’est peu dire que la montagne accouche d’une souris…
Les annonces sur la formation laissent clairement présager que cette question passera à la trappe. Pour la formation continue, ce sont d’abord les IEN et les IA-IPR qui seront formés aux questions de l’égalité filles/garçons pour sensément former ensuite les personnels. Nous le redisons : dans un contexte d’austérité où les moyens de formation et le temps des animations pédagogiques sont restreints, bien peu d’enseignant-e-s auront accès à des formations sur ces thèmes. Pour la formation initiale, les modules annoncés existent déjà dans les ESPE, et l’autonomie de chacune rend très variable la prise en compte de ces thématiques.
Pour pallier ce déficit annoncé de formation en présentiel, une solution miracle : le numérique !
Le dispositif M@gistère, outil de formation continue à distance informatisé, est présenté comme un recours utile. Rien ne remplace pourtant le contact direct, le partage des expériences entre enseignant-e-s pour permettre la réflexion et l’élaboration collectives de nouvelles pratiques pédagogiques. Ces dispositifs de pseudo-formation dédouanent à peu de frais notre institution de son obligation à former véritablement ses personnels, et instaurent des modes de management fondés sur l’individualisme, l’infantilisation et le flicage.

La fameuse « mallette pédagogique » devait également être un outil magique. Que voit-on dans cet onglet du site dédié ? Une vidéo de 6mn nous permettant d’écouter la bonne parole de Mme Robine, qui présente les inégalités filles/garçons comme un « handicap démocratique » mais aussi comme un « handicap économique » (d’ailleurs les partenariats présentés ne concernent que le monde de l’entreprise !). Pour le gouvernement le grand scandale du sexisme n’est donc pas dans les rapports de domination qu’il induit, pas dans l’oppression étouffant épanouissement et émancipation des un-e-s et des autres…non, il est dans le « handicap économique » qu’il engendrerait. Triste signe, un de plus, de l’allégeance de ce gouvernement aux prérogatives du libéralisme, et de son absence de considération pour un projet de société émancipateur.
Par ailleurs, cette mallette n’a bien de pédagogique que le nom : les pistes pédagogiques sont purement et simplement indigentes. Quelques lignes pour chaque chapitre de programme, aucun document, aucune séquence-type, aucune biblio ou sitographie…
La liste des partenaires agréés renvoie au site du MEN, avec une liste de toutes les associations, dans tous les domaines : aucune visibilité sur les associations de défense des droits des femmes et des LGBT, noyées dans ce grand fourre-tout.
Le renvoi à la campagne contre le harcèlement ne porte pas sur les thématiques spécifiquement sexistes et LGBTphobes.
La lutte contre les stéréotypes de genre, qui sont le fondement des discriminations, n’est pas évoquée. De même que ne sont pas évoquées les LGBTphobies, qui pourtant ont des effets dévastateurs sur les jeunes lesbiennes, gays, bi-e-s et trans dans les établissements scolaires.

Au regard des enjeux essentiels que recouvre la lutte contre le sexisme et les LGBTphobies en milieu scolaire, tant d’indigence et de travail bâclé ne peuvent que susciter notre colère et renforcer notre détermination à porter notre projet d’une autre école et d’une autre société.

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 15:31

Commençons par la moins bonne nouvelle : même si SUD éducation a maintenu ses voix à l'élection du Comité Technique Ministériel (une baisse d'un ½ point), la montée d'un syndicat classé à droite nous a fait perdre notre siège au CTM. SUD éducation a déposé un recours au tribunal administratif en raison des irrégularités constatées. Par contre, nous maintenons notre siège en CAP nationale des certifiés et obtenons pour la 1re fois un siège au Conseil National de l'Enseignement Supérieur. Et notre Union Syndicale Solidaires conforte ses positions dans la Fonction Publique

1ère bonne nouvelle : dans l'académie de Caen, nous maintenons nos positions et gardons tous nos sièges dans les instances (Comité Technique Académique, CAPA des certifiés, CAPA des PLP, CAPA des agrégés, CCP des personnels enseignants, CCP des personnels de surveillance). Nos camarades du Calvados ont progressé en CAPD et deviennent le deuxième syndicat chez les Professeurs des Écoles. Nos camarades de la Manche maintiennent leur siège en CAPD des PE.

2ème bonne nouvelle : dans l'Orne, nous gardons notre siège en CAPD (avec une baisse en pourcentage) et nous maintenons nos deux sièges au Comité Technique Départemental (ce qui nous permettra de continuer notre présence au CDEN et au CHS-CT).

Pourquoi avons-nous perdu des voix chez les PE ?

Une partie de nos électeurs et électrices a quitté le département ou pris sa retraite. D'une part, les nouveaux collègues, sortis de l'IUFM (ou de l'ESPE) ou arrivant d'un autre département connaissent peu (et mal) notre syndicat, et ils sont donc tentés de voter pour des syndicats plus connus. D'autre part, les positions de SUD éducation ne plaisent pas forcément à tout le monde : défense acharnée des personnels précaires, défense intransigeante des collègues soumis au harcèlement de la hiérarchie, dénonciation de la réforme des rythmes... notre syndicat a des convictions et les affirme.

Notre fierté, c'est de défendre les intérêts de l'ensemble des personnels, précaires ou titulaires, et de lutter pas à pas contre la marchandisation de l’Éducation Nationale et la dégradation des conditions de travail de ses personnels.

Nous continuerons de défendre en CAPD les collègues qui feront appel à nous, que ce soit pour les permutations, le mouvement, les départs en stage, ou l'accompagnement en cas de convocation par un IEN ou le DASEN.

Pourquoi avons-nous conforté notre place au Comité Technique Départemental ?

La baisse de voix chez les PE a été compensée par une progression importante des voix dans les autres catégories. Jusqu'à cette dernière rentrée dans l'Orne, SUD éducation était bien connu chez les Professeurs des Écoles, et assez peu connu dans les autres catégories. Depuis quelques mois, nous savons que nous sommes également connus et appréciés dans d'autres catégories, et plus particulièrement chez les personnes contraintes de travailler avec des contrats précaires.

Notre fierté, c'est aussi et surtout de nous battre avec l'ensemble des personnels contre la précarité et d'exiger la titularisation immédiate sans condition de tous ces personnels.

Nos deux sièges en Comité Technique Départemental, notre présence active au CDEN, au CHSCT, au Comité Technique Académique serviront de relais et d'amplificateurs de vos revendications pour la défense de tous les personnels et la transformation de l'école.

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10 décembre 2014 3 10 /12 /décembre /2014 09:52

Les points essentiels ont été les rythmes scolaires, le règlement type départemental des écoles, le bilan des effectifs, les axes prioritaires pour 2014-2015, ainsi que les questions diverses.

Lire le compte rendu sur le fichier joint.

La déclaration préalable de SUD éducation est également à lire en fichier joint.

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9 décembre 2014 2 09 /12 /décembre /2014 12:10

Beaucoup de direct-rices ont sans doute pensé à la lecture du BO du 6/11 sur les protocoles de simplification des tâches que simplification rimerait donc avec allègement : il n'en est rien.

L’académie par le biais du service informatique du Rectorat planche actuellement sur un « outil », sorte de « super tableau de bord » commun à toutes les écoles.

Cet « outil » (de fichage ? de flicage?) calqué sur le principe de Base élève mais plus élaboré encore et dont nous dénonçons toujours le principe, regrouperait l'ensemble des informations d'une école par exemple :

Compte-rendus, dates et lieux des réunions et conseils,

règlement d'école,

PPRE,

PAI,

DUER,

PPMS

Équipes éducatives

APC,

Élèves en situation de handicap,

AVS, aides à la direction

Projets d'écoles et avenants,

résultat des évaluations (anglais)

etc.

Plus loin et « abouti » que base élève, les multiples informations contenues dans cette application seraient à tout moment récupérables et consultables par les IEN et la DSDEN, ce serait là l'outil révolutionnaire d'extraction pour toutes les enquêtes habituellement demandées au compte-gouttes.

La DSDEN assure que seuls 20% à 30% de cette « super base » seraient à compléter par les direct-rices elles-mêmes selon un échéancier déterminé. Certaines informations auraient été au préalable récupérées et extraites de Base élève pour pré-remplir et alimenter ce tableau de bord.

Nous ne pouvons que nous inquiéter de cette dérive du tout numérique et la mise à disposition potentielle d'informations sensibles. Sommes-nous si éloigné-es de BIG BROTHER ?

Base élève a été présentée à sa création comme un outil pour les direct-rices mais dans les faits ce n'est pas le cas. En effet, les fonctionnalités ne sont ni pratiques, ni abouties, la convivialité inexistante, l'ergonomie mal pensée.

Base élève demeure un outil de fichage des élèves et la super base TdB en préparation s'inscrit définitivement dans le même esprit.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 16:37

Communiqué de la Fédération SUD éducation du 4 décembre 2014 à 16h30

Publié le jeudi 4 décembre 2014 sur http://www.sudeducation.org/Vote-electronique-dans-l-education.html

À l’heure où nous publions ce communiqué, quelques minutes avant la clôture du vote, personne ne sait quels seront les résultats des élections professionnelles dans l’Éducation nationale.
On en connaît pourtant déjà les principaux enseignement
s :

  • le vote électronique est une fois de plus un fiasco,
  • son organisation a été calamiteuse,
  • le vote est entaché de nombreuses irrégularités.


C’est un fiasco en matière de participation au vote. Avant le vote électronique, le taux de participation aux élections professionnelles dans l’Éducation nationale était toujours supérieur à 60%. Cette année, comme en 2011 où le « e-vote » a été instauré, il sera inférieur à 40%.

L’organisation des opérations a été calamiteuse pour les personnels comme pour les organisations syndicales. Les personnels ont été saturés par le nombre de messages électroniques reçus simultanément sans possibilité de se désinscrire des listes. La procédure de vote et celle qui a été imposée aux organisations syndicales pour le dépôt des listes et des candidatures étaient d’une grande et inutile complexité.

Le scrutin est entaché de nombreuses irrégularités. Les procédures et les informations manquantes ou contradictoires ont empêché des personnels de voter. Il y a eu rupture d’égalité dans la communication officielle des organisations syndicales. La fraude était facile, comme nous l’avons fait constater par huissier. Des organisations syndicales concurrentes ont eu recours à des moyens douteux voire illégaux pour faire voter pour elles ou voter à la place des personnels en leur demandant des informations personnelles et confidentielles.

La fédération SUD éducation dénonce l’organisation calamiteuse des élections professionnelles par le ministère de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la recherche. L’ensemble discrédite les syndicats. On peut légitimement se demander si c’est uniquement la conséquence de choix mal maîtrisés ou s’il ne s’agit pas plutôt d’un objectif pour le ministère.

SUD éducation dénonce toujours le choix du vote électronique et revendique le retour au vote à l’urne. Le choix du vote électronique pose des problèmes de principe sur le contrôle des opérations et sur le secret du vote. L’expérience des deux derniers scrutins nous renforce dans cette opposition. Les syndicats SUD éducation débattront dans leurs instances décisionnelles de l’opportunité de déposer des recours contentieux en annulation de ces élections ; nous prenons toutes les dispositions pour être en mesure de le faire.

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 16:35

Communiqué de la fédération Sud-Education du 04 décembre 2014

Publié le jeudi 4 décembre 2014 sur http://www.sudeducation.org/PE-remplacant-e-s-et-en-postes.html

Au Bulletin officiel n°38 du 16 octobre 2014, le ministère a publié la note de service n°2014-135 du 10-9-2014 pour la mise en œuvre du Décret n° 2014-942 du 20 août 2014 instaurant une récupération horaire pour les professeur-e-s des écoles remplaçant-e-s et en postes fractionnés. SUD éducation dénonce cette nouvelle étape dans la casse des statuts et appelle les personnels à faire valoir leurs droits.
Suite à la mise en place des nouveaux rythmes scolaires, différenciée selon les écoles, les professeur-e-s des écoles assurant des fonctions de remplacement et sur postes fractionnés peuvent être appelé‑e‑s à assurer plus de 24 heures de classe dans la semaine, en contradiction avec la définition du maximum hebdomadaire de service.
Conséquences néfastes de la désorganisation du temps de l’école provoquée par la réforme des rythmes scolaires, le ministère ouvre une nouvelle brèche dans la déréglementation du service des professeur-e-s des écoles en modifiant le décret relatif à leurs obligations de service et en instaurant « une récupération des heures effectuées en sus de 24h dans la semaine, sous la forme de journées ou de demi-journées non travaillées. »
Une attaque contre le statut des professeur-e-s des écoles
Les professeur-e-s intervenant sur diverses écoles auront un temps de travail fluctuant au gré de leurs affectations avec toutefois deux limitations à l’annualisation totale :
Il n’est pas possible de faire travailler un PE à la fois le mercredi et le samedi ;
Les heures effectuées en sous-service ne seront pas décomptées pour les faire rattraper ensuite par des dépassements horaires ou pour les déduire des heures à récupérer (ce sous-service hebdomadaire étant de la responsabilité de l’employeur).
L’administration s’appuie sur ces deux limites pour nier qu’il s’agisse d’une annualisation.
Des modalités et une mise en œuvre des récupérations inacceptables
Les modalités indiquées dans la note de service demeurent totalement floues et inacceptables !
Aucune règle et modalité définies collectivement. Elles restent sous la seule autorité du DASEN : les CTSD ne seront consultés que pour avis ; des bilans annuels (donc à posteriori) y seront présentés, mais pour quel effet ? ; le ministère ayant refusé la possibilité d’un droit d’appel et de la saisine de la CAPD, il n’y aura aucun contrôle des organismes paritaires, ce qui livre les personnels aux pressions de leur hiérarchie et ouvre la porte au clientélisme.
Aucune obligation pour les DASEN de regrouper les heures à récupérer au-delà de demi-journées.
Aucune obligation pour l’administration d’anticiper un calendrier annuel ou même mensuel des récupérations puisqu’elle doit « au plus tard à la fin de la semaine précédente » faire connaître, à l’enseignant-e concerné-e, ses jours ou sa période de récupération.
Aucun choix possible de la période de récupération pour les personnels, puisque c’est l’intérêt du service qui prime et que doivent être privilégiées les périodes « creuses » de remplacements.
Ce temps de récupération ne peut être reporté sur l’année suivante. Il est prévu pour les remplaçant-e-s de préférence sur leur temps en école de rattachement et pour les collègues en postes fractionnés de préférence en début ou fin d’année scolaire. Mais il ne sera pas possible de tout récupérer en fin d’année ! Ou ce sera sans remplacement et donc au détriment de toutes les équipes !
Faire respecter les droits, faire reculer l’arbitraire
Les administrations locales tentent souvent de mettre en œuvre cette contre-réforme sans même respecter les quelques gardes-fous existant. Nous appelons les personnels à faire respecter leurs droits en lien avec leurs organisations syndicales :
les heures de sous-service ne sont pas déductibles des récupérations, et les personnels n’ont jamais à rattraper des heures « non faites » ;
le calendrier des récupérations doit être défini après « consultation de l’intéressé-e » ;
les modalités de mise en œuvre départementale doivent avoir été soumises à l’avis du CTSD.
Cela peut être l’occasion de créer des rapports de force pour imposer des modalités plus favorables. Il faut en particulier :
refuser que le décompte des heures repose sur les personnels, ce qui leur fait du travail en plus et leur fait porter la responsabilité d’éventuelles erreurs ;
imposer que les périodes de récupération soit le plus largement possible au choix des personnels ;
imposer un calendrier annuel pour les postes fractionnés et des délais de prévenance suffisants pour les remplaçant-e-s, pour que les personnels puissent réellement disposer de leur temps de récupération de manière optimale ;
imposer une limite de dépassement hebdomadaire, mensuelle, annuelle, pour éviter les « burn out » professionnels ;
demander l’avis du CHSCT sur les modalités décidées par le DASEN.
Cette flexibilisation dégrade plus encore les conditions de travail des PE
La fédération SUD Éducation s’oppose fermement à cette attaque contre les statuts des professeur-e-s des écoles, conséquence de la réforme des rythmes que nous combattons.
La seule réponse qui serait conforme aux droits des personnels est que les collègues ne dépassent pas 24 heures. La seule vraie réponse est de toute façon le découplage du temps de classe des PE de celui des élèves.
2028SUD Éducation revendique :
2028 Une toute autre réforme pour l’école et ses personnels, avec l’abrogation de la réforme Peillon-Hamon comme préalable.
2028 La différenciation du temps de service des PE devant élèves du temps d’enseignement pour les élèves.
2028 La réduction du temps de travail de tou-te-s les PE et de leur temps de présence devant les élèves : un service de 18h par semaine devant élèves, et 6h pour les concertations, le travail en équipe, la mutualisation des pratiques, les conseils, les réunions avec les parents...
2028 Le respect des maxima horaires de service, sans dépassement, sans heures supplémentaires, sans « récupér
ation ».
Ce n’est pas le temps de travail de certain-e-s PE qu’il faut augmenter certaines semaines, c’est le temps de travail de tou-te-s les PE qu’il faut diminuer toutes les semaines, et encore plus pour celles et ceux qui ont des contraintes particulières comme tou-te-s les remplaçant-e-s et tous les postes fractionnés, qui doivent avoir une réduction de leur service liées à leurs conditions d’exercice. Pour cela, SUD éducation revendique :
Une prise en compte des contraintes spécifiques de ces postes par une réduction significative de leur temps de travail, et non par une indemnité pécuniaire.

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Published by SUD 61