28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:45
A Montpellier comme ailleurs la transphobie et la précarité tuent

Mercredi 23 septembre, Doona, une étudiante trans de Montpellier âgée de 19 ans, s’est donné la mort.

SUD éducation présente ses condoléances à tou-te-s les proches de Doona.

Les syndicats étudiants soulignent la prise en charge défaillante de la détresse de cette étudiante par les services de l’Université et le CROUS, qu’elle avait rencontrés quelques heures avant son geste. Si le CROUS nie aujourd’hui ces accusations, de nombreux-ses étudiant-e-s appellent à se rassembler lundi midi devant plusieurs CROUS de France pour dénoncer cette situation.

Il est urgent de prendre en compte la transidentité et de lutter contre la transphobie au sein des établissements et des institutions accueillant des élèves et étudiant-e-s. Les parcours de transition des élèves comme des personnels doivent être pris en considération. Il faut notamment faciliter le changement de prénom sur simple demande d’un-e élève. Les LGBTphobies mettent en péril la vie de nos élèves et étudiant-e-s.

Pour SUD éducation, les ministères de l’Éducation nationale comme de l’Enseignement supérieur et de la recherche se contentent d’afficher leurs intentions, qui doivent encore se traduire concrètement. La prise en charge de ces questions ne doit pas être laissée à des organismes extérieurs, les formations en éducation à la sexualité et à l’affectivité doivent être dispensées au sein de l’école par des personnels formés. Pour cela, des formations doivent être dispensées à l’ensemble des personnels sur ces questions.

SUD éducation appelle les personnels à se joindre aux étudiant-e-s dans les rassemblements de lundi devant les Crous.

SUD éducation demande à ce que soit accentuée la formation des personnels sur la question des LGBTphobies.

Pour lutter contre les LGBTIphobies dans tous les établissements scolaires, du primaire à l’université, SUD éducation revendique :

  • la ré-intégration du concept de genre dans les textes officiels et sa prise en compte dans des programmes élaborés par la communauté éducative
  • l’effectivité des séances d’éducation à la sexualité prévues dans les textes officiels et la prise en compte dans ces séances d’une perspective non hétérocentrée, qui mette sur un pied d’égalité toutes les orientations sexuelles et toutes les identités de genre
  • le respect du prénom et du pronom d’usage pour les élèves et personnels trans
  • la mise en place dans la formation initiale de modules obligatoires sur les problématiques de genre, pour les futur-e-s enseignant-e-s (selon un volume horaire identique dans toutes les INSPE), et pour toutes les autres catégories de personnel (CPE, agent-e-s)
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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:40

Le Projet de loi de programmation de la recherche pour les années 2021 à 2030 et portant diverses dispositions relatives à la recherche et à l'enseignement supérieur a été adopté la nuit du 23 au 24 septembre à l'Assemblée Nationale.

Ce projet de loi, qui doit encore passer au Sénat à la mi-octobre, que pourtant toute la communauté universitaire rejette, vient d'être imposé d'une bien triste manière aux chercheurs-euses, enseignant-e-s, personnels BIATSS et étudiant-e-s, alors que tout le monde travaille avant tout en ce moment à assurer la moins mauvaise rentrée possible.

La ministre et les député-e-s auront tout tenté ces dernières semaines : mensonges, langue de bois, discours lénifiant sur de prétendus investissements... cela ne trompe personne. Pour SUD éducation, la LPPR c’est toujours non ! Ce projet de loi condamne à la précarité sans fin les générations actuelles et futures de jeunes chercheurs et jeunes chercheuses. Il constitue une attaque contre le service public d’enseignement supérieur et de la recherche, contre les droits des personnels et contre l’indépendance de la recherche.

La navette parlementaire n’est pas achevée. Les premières mobilisations des personnels de l’enseignement supérieur et la Recherche doivent maintenant s’amplifier à l’occasion de nouveaux rendez-vous organisés en assemblée générale pour construire le rapport de force et obtenir le retrait de ce projet.

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:11

COMMUNIQUÉ : CONTRE LES AMENDEMENTS ANTI SQUAT : MOBILISATION MARDI 29 SEPTEMBRE À 18H

https://www.droitaulogement.org/2020/09/communique-contre-les-amendements-anti-squat-mobilisation-mardi-29-septembre-a-18h/

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:10

« Séparatisme » : nous refusons une loi de stigmatisation, de division et une nouvelle attaque des principes de laïcité

Communiqué intersyndical CGT – FSU – Solidaires – Unef – UNL

Le ministère de l’intérieur, celui de la citoyenneté et l’Elysée ont annoncé préparer une loi sur le « séparatisme » présentée à l’automne pour un vote devant intervenir au début de l’année 2021.
Nos organisations souhaitent ici le dire ensemble et avec force : nous ne laisserons pas ainsi diviser, fracturer la société française et plus particulièrement les classes populaires par une nouvelle campagne islamophobe de stigmatisation des populations musulmanes ou perçues comme telles qui sont systématiquement visées dans les propos des ministres et au plus haut sommet de l’État.

Personne n’est dupe : ce sont nos concitoyennes et concitoyens de confession musulmane qui sont visés par ce projet de loi. Les exemples donnés dans les médias se réfèrent systématiquement à l’Islam, aux musulmanes et aux musulmans.
Ce projet de loi vise à désigner un « ennemi intérieur ».
Si l’on en croit les propos du ministre de l’intérieur il s’agit même de contrôler l’expression du dogme. Si des expressions religieuses contreviennent au droit, l’État dispose déjà du dispositif législatif pour agir mais il n’a pas à se mêler du dogme d’aucune religion.

Hérité du racisme colonial, ce projet est une nouvelle expression d’un débat public saturé de fantasmes xénophobes : l’usage du mot « ensauvagement » répété à l’envie par le ministre de l’intérieur, la monstrueuse mise en scène raciste de la députée Danièle Obono dans Valeurs actuelles, la « plaisanterie » d’un ancien président de la République assimilant « singe » et personnes noires, les humiliations publiques répétées de femmes qui portent le foulard… tout cela n’est pas le domaine réservé de l’extrême droite.
Récemment encore, des député·es ont exprimé, à l’égard de la Vice-Présidente de l’UNEF, des exigences qui outrepassaient les obligations légales et mettaient en cause des droits reconnus par le principe de liberté de conscience. Alors qu’elle s’exprimait au sujet des conditions étudiantes difficiles à cause de la crise sanitaire, certain·es ont préféré voir son voile avant ses valeurs et ont tenté de l’humilier.

La laïcité a pour objectif principal de garantir les libertés et l’égalité.
Si l’État se doit d’être neutre et laïc, c’est justement pour permettre à la citoyenne ou le citoyen de pouvoir être libre d’exprimer ses idées à partir du moment ou cette expression n’empiète pas sur la liberté d’autrui. Les principes laïques ne doivent pas être dévoyés ni être appliqués à géométrie variable.
Dupes d’aucune offensive réactionnaire, nos organisations rappellent leur attachement à la laïcité qui permet l’exercice réel de la liberté d’opinion, d’expression et de conscience. Cela impose d’investir massivement dans des services publics.

Modifier la loi de 1905 , comme le projette l’exécutif avec sa loi sur le prétendu « séparatisme » risque de détruire cet équilibre et de renforcer l’instrumentalisation de la laïcité.
Nos organisations prendront leurs responsabilités, continueront de se mobiliser pour l’égalité des droits et seront attentives aux initiatives unitaires prises dans le cadre de l’examen de ce projet de loi.
Elles appellent toute la population à refuser ces divisions, à se battre ensemble contre tous les racismes, à faire face ensemble pour exiger et construire des réponses aux urgences sociales.

Le 25 septembre 2020

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:09

Pour une revalorisation des salaires dans l’Animation !

Tract commun des organisations de la CGT et de Solidaires (Asso, SUD Santé sociaux et Sud Culture) intervenant dans le secteur de l’animation

https://solidaires.org/Pour-une-revalorisation-des-salaires-dans-l-Animation

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:06

Loi grand âge et autonomie : stop à l’enfumage du gouvernement !

SUD Santé Sociaux / SUD Collectivités territoriales

Macron s’est rendu dans un EHPAD du Loire et cher,ce mardi 22 septembre afin de rencontrer les résidents/résidentes et le personnel.

Il a annoncé entre autres une phase de consultation express pour répondre aux difficultés des services à domicile et des EPHAD.

Nous sommes indigné.es et en colère car depuis plusieurs années, les personnels des EHPAD, des services à domicile, les familles et les résident-es se mobilisent pour faire entendre leurs souffrances, la situation dramatique dans les structures, pour une revalorisation des salaires et pour le droit à la dignité des personnes âgées.

Ce gouvernement a toujours fait la sourde oreille et n’a jamais voulu entendre le cris d’alarme de l’ensemble de ce secteur.Il a fallu les drames, + de 13000 morts,dans nos EHPADs par la Covid pour qu’on soucie de nos ainé-es et du personnel.

Après des mois d’efforts,malgré le manque de moyens humains et de matériels, le personnel est à bout, la situation est plus que dramatique.

Manque de personnels, salaire de misère, précarité, pression et culpabilisation, rappels à domicile, menace set sanctions, épuisement psychologique et psychique... On n’en peut plus !

De rapport en rapport, on promet mais rien ne bouge.

C’est une honte, un mépris successif pour nos revendications.Ce n’est pas avec une prime pour les hospitalier.es que vous étoufferez notre colère !

Alors que pour la FPT le même décret « prime grand âge »n’a même pas été publié !

Il est temps de sortir de cette logique financière qui étouffe les établissements et qui met en souffrance le personnel et les résident.es.

La création d’une 5ième branche, la marchandisation des EHPAD, l’enfumage du Ségurde la santé ne vont pas dans le sens.

Macron est l’instigateur de toutes ces réformes qui aggravent continuellement nos conditions de travail.Il est temps de passer aux actes.

Nous voulons une vraie loi du grand âge et de l’autonomie qui prend en compte les besoins de nos aîné-es, la revalorisation des salaires pour toutes et tous les salarié.es en EHPAD (cuisinier-ères, officièr-es, lingères, services techniques, ASH, administratifs, animateur/trice, rééducateur/trice, soignant-es...) ainsi qu’en service à domicile avec des moyens humains et financiers à la hauteur des besoins.

Il est temps de dire non à l’inacceptable.

C’est par la mobilisation que nous ferons changer cet état de fait et non dans l’illusion des promesses d’un président.Pour la dignité des résident-es et du personnel, on ne lâche rien !

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:05

La Marche Nationale des Sans Papiers, c’est parti !

« Parce qu’il s’agit de liberté et de solidarité, nous manifesterons le 17 octobre en hommage à toutes les victimes du colonialisme, du racisme et des violences de la police, en hommage à toutes les victimes des politiques anti-migratoires et des contrôles au faciès. Parce qu’il s’agit tout simplement d’égalité nous manifesterons pour imposer enfin la régularisation de tou-tes les Sans-Papiers, la fermeture des centres de rétention et le logement pour tou-tes. »
Extrait de l’appel : 
https://blogs.mediapart.fr/marche-des-solidarites/

La marche nationale des Sans Papiers s’est élancée le samedi 19 septembre de Marseille et de Montpellier pour rejoindre Paris et l’Elysée le 17 octobre. Des centaines de personnes accompagnent les sans papiers qui marcheront pendant un mois pour demander la régularisation de tou-tes les sans papiers, un logement pour tou-tes et la fermeture des centres de rétention administrative. Une manifestation a aussi eu lieu à Toulouse.

L’Union syndicale Solidaires soutient et participe à cette mobilisation construite avec la Marche des Solidarités, mouvement pour l’égalité des droits, contre le racisme et pour la régularisation de tou-tes les Sans-Papiers. Elle appelle au soutien lors des étapes par l’aide financière et logistique, la participation aux initiatives publiques, et à être massivement présent-es le 17 octobre pour l’arrivée à Paris.

Cette initiative suit les manifestations très massives des 30 mai (acte 1) et du 20 juin (acte 2), c’est maintenant l’acte 3.

D’autres Marches partiront prochainement depuis d’autres villes. Le 3 octobre sera un nouveau temps fort avec des manifestations dans de nombreuses villes, en particulier à Rennes, Rouen, Lille, Strasbourg et Lyon rejoint par Grenoble.

La carte interactive de la marche :https://marches-des-sans-papiers.netlify.app/

L’Union syndicale Solidaires est aux côtés des sans papiers et nous mettrons tout en œuvre pour cette marche historique pour l’égalité !

*Pour aider au financement : https://www.lepotcommun.fr/pot/ssqm0lal

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:03

Tribune collective publiée dans Le Monde signée par Solidaires

L’Assemblée nationale doit examiner, le 5 octobre, un projet de loi permettant à la filière betteravière d’avoir de nouveau recours à ce pesticide toxique. Un collectif de plus de 150 personnalités politiques, parmi lesquelles la députée Delphine Batho (Génération Ecologie), le député (EDS) Aurélien Taché ou encore le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure, dénonce, dans une tribune au « Monde », une « régression environnementale ».

Tribune publiée dans le Monde le 23/9/2020.

Les néonicotinoïdes sont dévastateurs pour le vivant. Hautement toxiques et persistantes dans l’environnement, ces substances tuent à très faible dose les abeilles et les pollinisateurs sauvages, dont dépendent l’agriculture et notre alimentation. De très nombreuses études scientifiques démontrent la responsabilité de ces produits dans l’effondrement de plus de 80 % des populations d’insectes et d’un tiers des oiseaux des champs en France, en quelques années seulement. C’est toute la chaîne de la biodiversité qui est atteinte, des invertébrés aquatiques aux poissons, batraciens, vers de terre, mammifères jusqu’aux humains… Car oui, les risques pour la santé humaine commencent déjà à apparaître, avec des conséquences sur le développement du cerveau et des effets perturbateurs endocriniens avérés.

La France a été le premier pays au monde à interdire les néonicotinoïdes, par la loi de 2016 sur la biodiversité. Notre pays avait ainsi entraîné l’Europe qui, en 2018, a décidé de mettre fin aux autorisations des substances les plus utilisées.
Difficultés économiques

C’est cette loi pionnière, dont le président de la République lui-même se félicitait lors de son entrée en vigueur, que le gouvernement veut aujourd’hui défaire. Mettant en avant les difficultés rencontrées par la filière de la betterave à sucre, il réautorise l’usage de ces produits toxiques sur des centaines de milliers d’hectares. Là où il aurait été possible d’indemniser les producteurs et d’accompagner cette filière, qui rencontre des difficultés structurelles depuis la suppression des quotas européens, par un plan de transformation agroécologique, c’est le choix de la régression environnementale qui est fait sous la pression et au bénéfice des lobbys de l’agrochimie.
Des solutions alternatives existent pourtant, plus respectueuses des agricultrices et agriculteurs et de leur santé, du vivant, des terroirs et de l’environnement, basées sur la lutte intégrée et la préservation des écosystèmes. Il eût été plus judicieux de mobiliser la recherche publique pour vulgariser ces techniques.

Le projet de loi qui sera examiné le 5 octobre à l’Assemblée nationale constitue bien plus qu’un reniement. Il crée un précédent : désormais, il suffira d’une difficulté économique dans un secteur pour justifier une annulation des mesures prises précédemment.

Des années de combat mises à bas

Ce projet de loi est basé sur des arguments obscurantistes, niant les conclusions de centaines d’études scientifiques sur la toxicité aiguë des néonicotinoïdes et leur caractère incontrôlable dans l’espace et dans le temps. Il repose sur un mensonge : présenté comme destiné à ne combattre que la jaunisse de la betterave, il sert de cheval de Troie pour une remise en cause bien plus fondamentale de la loi.

Ainsi, le texte du gouvernement prévoit qu’un simple décret pourra autoriser des substances néonicotinoïdes jusqu’ici bannies de France et que des dérogations, permettant l’utilisation de produits interdits eux en Europe, pourront être accordées à tous les types de productions, sur tout le territoire national.

S’il est adopté, ce texte mettra à bas des années de combats, portés en particulier par les apicultrices et les apiculteurs et les associations environnementales, qui avaient réussi à convaincre une majorité de parlementaires, par-delà les sensibilités politiques.

Volte-face sans précédent

Plus grave encore, il constitue un contresens historique. En pleine pandémie mondiale dont les origines sont probablement liées à la destruction des écosystèmes, et alors que le rythme d’effondrement de la biodiversité est sidérant (68 % des vertébrés sauvages ont disparu depuis 1970, selon WWF), la protection du vivant devrait au contraire être au centre de toutes les attentions. A l’heure de l’extinction de masse du vivant, nous ne pouvons cautionner cette volte-face sans précédent.

Dans ce contexte d’urgence écologique, la réautorisation des néonicotinoïdes en France constituerait un recul démocratique majeur, totalement contraire à la Charte de l’environnement, qui a valeur constitutionnelle, et au principe de non-régression [présent dans la loi biodiversité de 2016], selon lequel les dispositions réglementaires et législatives en matière de protection de l’environnement ne peuvent faire l’objet « que d’une amélioration constante ».

Il est encore temps d’empêcher un écocide. Parce que nous n’avons pas de planète B, nous, organisations signataires de cette tribune, appelons toutes les citoyennes et tous les citoyens à se mobiliser et à interpeller les parlementaires, pour qu’ils s’opposent à cette loi indigne.

>> Voir sur le Monde

 

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:02

Fonction publique - Préavis de grève pour le mois d’octobre 2020

https://solidaires.org/Fonction-publique-Preavis-de-greve-pour-le-mois-d-octobre-2020

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28 septembre 2020 1 28 /09 /septembre /2020 12:01

Retraité-es sacrifié-es / Masques gratuits

Voici deux expressions unitaires envoyés à la presse :
 les menaces fortes contre les retraité-es qui pourraient être dans le PLFSS 2021,
 les masques gratuits.

https://solidaires.org/Retraite-es-sacrifie-es-Masques-gratuits

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